Route de la Craie – Ramerupt

Halles & souterrains

La halle
Dès le XIIe siècle (1167), le seigneur de Ramerupt est propriétaire d’un forum pour les marchés et foires.

La halle actuelle est construite en 1669. Déclarée « bien national » à la Révolution, la commune l’achète. Le 15 mai 1811, on y fête la naissance de l’Aiglon.

Des réparations sont réalisées au début du XIXe siècle, surtout après la campagne de France en 1814. La halle abrite, sous le comble, la salle des audiences du juge de paix. En 1858, la halle est louée, une machine à battre les grains est installée, du matériel agricole ensuite. L’espace est libéré les jours de foires…

En 14-18 et 39-45, la halle abrite des troupes et le bâtiment subit des dégradations. En 1966, les piliers et la charpente sont consolidés, la toiture restaurée ; en 1980, le sol est cimenté et les côtés fermés. En 2017, les charpentes, toitures et parois extérieures sont restaurées. L’intérieur est aménagé et équipé.

Les souterrains
À Ramerupt, une plate-forme domine la vallée du Puits. Du côté d’Isle-Aubigny, son extrémité forme le « Quartier de la Halle ». Elle s’allonge en pente douce vers Romaines, quartier de « Cour-Première ». Les souterrains se trouvent dans ces deux parties.

Ils sont découverts à des époques diverses (1814, 1832), par hasard (effondrement face à la mairie en 1970). Maçonnés en craie, ou creusés dans le tuf, ce sont alors des boyaux étroits et longs, sur lesquels se greffent de courtes allées formant caveaux. L’entrée est dissimulée dans une cave ou dans un puits.

Certains souterrains aux voûtes maçonnées en craie peuvent être d’anciennes caves creusées à une époque où le sol naturel était beaucoup plus bas (plus de 8 mètres au-dessous du sol extérieur dans un cas). Ils sont utilisés comme cachettes en 1814. Certains auteurs les datent du XIe et XIIe siècles.

The market hall
As early as the 12th century (1167), the lord of Ramerupt owned a forum for markets and fairs.

The current market hall was built in 1669. Declared a ‘national asset’ during the Revolution, it was bought by the commune. On 15 May 1811, it was used to celebrate the birth of l’Aiglon.

Repairs were carried out in the early 19th century, particularly after the French campaign of 1814. Under the roof, the hall housed the Justice of the Peace’s courtroom. In 1858, the hall was rented out and a grain threshing machine was installed, followed by agricultural equipment. The space was freed up on fair days…

In 14-18 and 39-45, the hall housed troops and the building was damaged. In 1966, the pillars and framework were consolidated and the roof restored; in 1980, the floor was cemented and the sides closed. In 2017, the framework, roof and exterior walls were restored. The interior was fitted out and equipped.

 

The underground passages
At Ramerupt, a platform overlooks the Puits valley. On the Isle-Aubigny side, its end forms the ‘Quartier de la Halle’. It slopes gently down towards Romaines, in the ‘Cour-Première’ district. The underground passages are found in both these areas.

They were discovered at various times (1814, 1832), by chance (collapse opposite the town hall in 1970). Built of chalk, or dug into the tufa, these are long, narrow gutters, onto which are grafted short alleyways forming vaults. The entrance is concealed in a cellar or well.

Die Halle
Bereits im 12. Jahrhundert (1167) besaß der Herr von Ramerupt ein Forum für Märkte und Messen.

Die heutige Markthalle wurde 1669 erbaut. Da sie während der Revolution zum „Nationalgut“ erklärt wurde, kaufte die Gemeinde sie. Am 15. Mai 1811 wird dort die Geburt des „Aiglon“ gefeiert.

Anfang des 19. Jahrhunderts wurden Reparaturen durchgeführt, vor allem nach dem Frankreichfeldzug 1814. In der Halle befindet sich unter dem Dach der Audienzsaal des Friedensrichters. Im Jahr 1858 wird die Halle vermietet, eine Dreschmaschine wird aufgestellt, später auch landwirtschaftliche Geräte. Der Raum wird an Messetagen freigegeben…

In den Jahren 14-18 und 39-45 beherbergt die Halle Truppen und das Gebäude erleidet Schäden. 1966 werden die Säulen und das Gebälk konsolidiert und das Dach restauriert; 1980 wird der Boden zementiert und die Seiten geschlossen. Im Jahr 2017 werden das Gebälk, das Dach und die Außenwände restauriert. Der Innenraum wird eingerichtet und ausgestattet.

 

Die unterirdischen Gänge
In Ramerupt überragt eine Plattform das Tal des Puits. Auf der Seite von Isle-Aubigny bildet ihr Ende das „Quartier de la Halle“. Sie verlängert sich sanft in Richtung Romaines, dem Viertel „Cour-Première“. Die unterirdischen Gänge befinden sich in beiden Teilen.

Sie wurden zu verschiedenen Zeiten (1814, 1832) oder durch Zufall (Einsturz gegenüber dem Rathaus 1970) entdeckt. Sie sind aus Kreide gemauert oder in Tuffstein gegraben und bestehen aus engen und langen Gängen, auf die kurze Gänge aufgepfropft sind, die als Gewölbe dienen. Der Eingang ist in einem Keller oder einem Brunnen verborgen.

Eglise Saint-Roche

L’église Saint-Roch est construite sur les fondations de l’église Saint-Martin dédicacée en 1548.

Dès la fin du XVIIIe siècle, d’importants travaux sont nécessaires. Des interventions urgentes sont menées au fil du temps. Plusieurs projets sont conçus et, en 1833, la restauration commence, dirigée par l’architecte Victor Bert († 1836). Mais le 31 août, la tour et une partie de la nef, qui devaient être préservées, s’effondrent.

Un projet de construction complet est élaboré et, en novembre 1838, l’architecte Joseph-Claude Habert (1808-1870) livre au culte l’église Saint-Roch, encore en travaux, après quatre années durant lesquelles les offices sont célébrés sous la halle. Le clocher est construit en 1863, par l’architecte Ferdinand Millot (1824-1899). Les cloches sont remontées la même année.

L’église est composée d’une nef et de deux bas-côtés, sans réel style architectural, sur un plan rectangulaire, sauf la saillie de l’abside. Les plafonds donnent à l’ensemble l’aspect d’une salle de théâtre.

De l’ancienne église, des statues de saints ornent les piliers : une Pièta, un Christ de Pitié du XVIe siècle et la chaire à prêcher de la même époque, restaurée par le sculpteur Charton de Dampierre.

De l’abbaye de la Piété proviennent la statue de Saint-Bernard agenouillé (XVe siècle), les panneaux et stalles (1ère moitié XVIIe siècle) richement sculptés. Ces stalles sont issues de l’abbaye de Basse Fontaine près de Brienne, supprimée en 1774, dont le mobilier est réparti dans les églises alentour. Des panneaux de bois peint, mentionnés au XVe siècle, restaurés, sont installés dans la sacristie.

Les vitraux réalisés entre 1862 et 1902 par le peintre-verrier Claudius Lavergne (1815-1887), puis par son fils Georges Claudius (1847-1923), ornent 14 baies. Le père, « artiste chrétien », élève d’Ingres, a exécuté La barque de Pie IX de Ramerupt ; à ce jour le plus bel exemple d’ultramontanisme* de l’artiste.

The church of Saint-Roch was built on the foundations of the church of Saint-Martin, which was dedicated in 1548.

Major work was required from the end of the 18th century onwards. Urgent work was carried out over the years. Several projects were devised and, in 1833, restoration work began, directed by the architect Victor Bert († 1836). But on 31 August, the tower and part of the nave, which were to have been preserved, collapsed.

A complete construction project was drawn up and, in November 1838, the architect Joseph-Claude Habert (1808-1870) handed over the Saint-Roch church, still under construction, for worship after four years during which services were held under the covered market. The bell tower was built in 1863 by architect Ferdinand Millot (1824-1899). The bells were reassembled the same year.

The church consists of a nave and two aisles, with no real architectural style, on a rectangular plan, except for the projection of the apse. The ceilings give the whole structure the appearance of a theatre.

From the old church, statues of saints adorn the pillars: a Pièta, a Christ of Pity from the 16th century and the pulpit from the same period, restored by the sculptor Charton de Dampierre.

The statue of Saint Bernard kneeling (15th century) and the richly sculpted panels and stalls (1st half 17th century) come from the Abbey of Piété. These choir stalls come from the Abbey of Basse Fontaine near Brienne, which was abolished in 1774, and whose furnishings were distributed among the following choirs

Die Kirche Saint-Roch wurde auf den Fundamenten der 1548 eingeweihten Kirche Saint-Martin errichtet.

Ab dem Ende des 18. Jahrhunderts sind umfangreiche Arbeiten erforderlich. Im Laufe der Zeit werden dringende Eingriffe vorgenommen. Mehrere Projekte werden entworfen und 1833 beginnt die Restaurierung unter der Leitung des Architekten Victor Bert († 1836). Am 31. August stürzen jedoch der Turm und ein Teil des Kirchenschiffs, die erhalten werden sollten, ein.

Ein vollständiges Bauprojekt wurde ausgearbeitet, und im November 1838 übergab der Architekt Joseph-Claude Habert (1808-1870) die noch im Bau befindliche Kirche Saint-Roch dem Gottesdienst, nach vier Jahren, in denen die Gottesdienste in der Markthalle abgehalten wurden. Der Glockenturm wurde 1863 von dem Architekten Ferdinand Millot (1824-1899) errichtet. Die Glocken wurden im selben Jahr aufgezogen.

Die Kirche besteht aus einem Kirchenschiff und zwei Seitenschiffen. Sie hat keinen wirklichen architektonischen Stil und einen rechteckigen Grundriss, abgesehen von der vorspringenden Apsis. Die Decken verleihen dem Ganzen das Aussehen eines Theatersaals.

Aus der alten Kirche zieren Heiligenstatuen die Säulen: eine Pièta, ein Christus der Gnade aus dem 16. Jahrhundert und die Predigtkanzel aus derselben Zeit, die vom Bildhauer Charton de Dampierre restauriert wurde.

Aus der Pietà-Abtei stammen die Statue des knienden Heiligen Bernhard (15. Jh.), die reich geschnitzten Tafeln und das Gestühl (1. Hälfte 17. Jh.). Das Gestühl stammt aus der Abtei Basse Fontaine bei Brienne, die 1774 aufgelöst wurde und deren Mobiliar auf folgende Orte verteilt ist

Les carrières

Des crayères comme celle de Ramerupt étaient ouvertes en Champagne sèche pour en extraire des moellons de craie propices à la construction.

La craie de cette carrière appartient au Crétacé supérieur (ère secondaire), à l’étage Turonien, daté de -91 à -88 millions d’années. La craie turonienne a une épaisseur d’environ 110 m. Cette craie n’est pas très riche en fossiles : les ammonites sont rares, contrairement aux inocérames (bivalves), aux brachiopodes et aux oursins. Les silex sont absents, mais on peut découvrir quelques nodules de marcassite (concrétions de sulfure de fer qu’il ne faut pas confondre avec des météorites !).

De nos jours, cette crayère sert au remblai des chemins.

Historiquement, trois grandes crayères exploitées par puits et treuils à Chaudrey, Nogent-sur-Aube et Vaucogne ont fourni une craie blanche d’un beau grain et en blocs assez volumineux, recherchée pour la construction des édifices publics. Beaucoup d’églises, dans un périmètre assez grand, ont été bâties avec cette pierre, qui paraît peu gélive lorsqu’elle est bien mise en œuvre.

Chalk quarries such as the one at Ramerupt were opened in the dry Champagne region to extract chalk rubble suitable for building.

The chalk in this quarry belongs to the Upper Cretaceous (secondary era), the Turonian stage, dated between 91 and 88 million years ago. The Turonian chalk is around 110 m thick. This chalk is not very rich in fossils: ammonites are rare, unlike inocera (bivalves), brachiopods and sea urchins. There are no flints, but there are a few nodules of marcasite (iron sulphide concretions that should not be confused with meteorites!)

Nowadays, this chalk pit is used to backfill roads.

Historically, three large chalk pits exploited by shafts and winches at Chaudrey, Nogent-sur-Aube and Vaucogne produced a fine-grained white chalk in fairly large blocks, which was sought after for the construction of public buildings. Many churches in a fairly large area were built using this stone, which seems to have little frost when properly used.

Kreidegruben wie die von Ramerupt wurden in der trockenen Champagne geöffnet, um Kreidebruchstücke zu gewinnen, die sich gut zum Bauen eigneten.

Die Kreide in dieser Grube stammt aus der Oberkreide (sekundäres Zeitalter), der Turonien-Stufe, die auf -91 bis -88 Millionen Jahre datiert wird. Die turonische Kreide hat eine Dicke von etwa 110 m. Diese Kreide ist nicht sehr reich an Fossilien: Ammoniten sind selten, im Gegensatz zu Inoceramen (Muscheln), Brachiopoden und Seeigeln. Feuersteine sind nicht vorhanden, aber man kann einige Markasitknollen entdecken (Konkretionen aus Eisensulfid, die nicht mit Meteoriten verwechselt werden dürfen!)

Heutzutage wird diese Krayere zum Aufschütten von Wegen verwendet.

Historisch gesehen lieferten drei große Kreidegruben in Chaudrey, Nogent-sur-Aube und Vaucogne, die mit Schächten und Winden betrieben wurden, weiße Kreide mit einer schönen Körnung und in ziemlich großen Blöcken, die für den Bau von öffentlichen Gebäuden begehrt war. Viele Kirchen in einem relativ großen Umkreis wurden aus diesem Stein gebaut, der bei richtiger Verarbeitung wenig frostgefährdet erscheint.

Charles-Eugène Delaunay (1816-1872)

Vous êtes devant la maison que ce savant a fait construire et qu’il a habitée de 1855 à son décès. Né à Lusigny-sur-Barse (Aube) le 9 avril 1816, il a passé son enfance à Ramerupta où son père a acheté, en 1818, une étude d’huissier.

Sorti major de l’École Polytechnique en 1836, il devient professeur de mécanique physique à la Sorbonne en 1849, siège à l’Académie des Sciences de 1855 à 1870, puis devient directeur de l’Observatoire de Paris de 1870 à 1872. Il se noie accidentellement à Cherbourg le 5 août. Delaunay, bienfaiteur pour son village, a, entre autres, offert la construction d’une école de filles.

You are standing in front of the house that this scientist had built and lived in from 1855 until his death. Born in Lusigny-sur-Barse (Aube) on 9 April 1816, he spent his childhood in Ramerupta, where his father bought a bailiff’s office in 1818.

He graduated top of his class from the École Polytechnique in 1836, became professor of physical mechanics at the Sorbonne in 1849, was a member of the Académie des Sciences from 1855 to 1870, and then became director of the Paris Observatory from 1870 to 1872. He accidentally drowned in Cherbourg on 5 August. Delaunay, a benefactor to his village, donated funds for the construction of a girls’ school, among other things.

Sie stehen vor dem Haus, das dieser Wissenschaftler bauen ließ und das er von 1855 bis zu seinem Tod bewohnte. Er wurde am 9. April 1816 in Lusigny-sur-Barse (Aube) geboren und verbrachte seine Kindheit in Ramerupta, wo sein Vater 1818 eine Gerichtsvollzieherkanzlei gekauft hatte.

Nach seinem Abschluss als Major der École Polytechnique im Jahr 1836 wurde er 1849 Professor für physikalische Mechanik an der Sorbonne, saß von 1855 bis 1870 in der Académie des Sciences und wurde von 1870 bis 1872 Direktor des Pariser Observatoriums. Am 5. August ertrank er versehentlich in Cherbourg. Delaunay war ein Wohltäter für sein Dorf und spendete unter anderem den Bau einer Mädchenschule.

Le moulin, coopérative meunière

Les arches, sous le pont derrière vous, sont les restes du moulin dont la part d’histoire qui nous intéresse commence au début du XIXe siècle. Propriété des Prieurs, il est vendu comme bien national à la Révolution et cédé à nouveau en 1844.

Victime d’un incendie fin 1860, il est racheté par le comte de Dampierre, propriétaire de la verrerie et du château de Bligny, qui fait rebâtir le moulin avec tous les perfectionnements et le met en location dès 1863. Il est mis en vente en 1895 seul, puis en 1906, en même temps que les propriétés liées au château de Dampierre.

Un groupe d’agriculteurs crée la Coopérative de Meunerie et Boulangerie à Ramerupt en 1911 et rachète le moulin équipé d’une turbine. Le bâtiment brûle en 1917. Mis en vente en 1923, il ne reste alors que la chute d’eau, les arches et le 1er étage (qui sera détruit un peu plus tard). Plusieurs projets de restauration n’ont pas abouti.

La coopérative, elle, est recréée début des années 1920 à Villette-sur-Aube sous le nom de Coopérative Agricole d’Arcis-sur-Aube, qui aujourd’hui répond à l’acronyme SCARA.

The arches under the bridge behind you are the remains of the mill, whose history begins in the early 19th century. Owned by the Priors, it was sold as national property during the Revolution and sold again in 1844.

After suffering a fire at the end of 1860, it was bought by the Count of Dampierre, owner of the Bligny glassworks and château, who had the mill rebuilt with all the latest improvements and rented it out from 1863. It was put up for sale in 1895 on its own, then in 1906, along with the properties associated with Château de Dampierre.

A group of farmers set up the Coopérative de Meunerie et Boulangerie in Ramerupt in 1911 and bought the mill, which was equipped with a turbine. The building burnt down in 1917. Put up for sale in 1923, all that remained was the waterfall, the arches and the 1st floor (which was destroyed a little later). Several restoration projects were unsuccessful.

The cooperative was recreated in the early 1920s in Villette-sur-Aube under the name of Coopérative Agricole d’Arcis-sur-Aube, which today goes by the acronym SCARA.

Die Bögen unter der Brücke hinter Ihnen sind die Überreste der Mühle, deren für uns interessanter Teil der Geschichte Anfang des 19. Jahrhunderts beginnt. Sie war im Besitz der Prioren, wurde während der Revolution als Nationalgut verkauft und 1844 erneut abgetreten.

Ende 1860 fiel sie einem Brand zum Opfer und wurde vom Grafen de Dampierre, dem Besitzer der Glasfabrik und des Schlosses Bligny, aufgekauft, der die Mühle mit allen Verbesserungen wieder aufbauen ließ und sie ab 1863 vermietete. Sie wird 1895 allein und 1906 zusammen mit den mit dem Schloss Dampierre verbundenen Anwesen zum Verkauf angeboten.

Eine Gruppe von Landwirten gründet 1911 die Coopérative de Meunerie et Boulangerie in Ramerupt und kauft die mit einer Turbine ausgestattete Mühle. Das Gebäude brannte 1917 ab. Als es 1923 zum Verkauf angeboten wurde, blieben nur der Wasserfall, die Bögen und die erste Etage (die etwas später abgerissen wurde) übrig. Mehrere Restaurierungsprojekte blieben erfolglos.

Die Genossenschaft wurde Anfang der 1920er Jahre in Villette-sur-Aube unter dem Namen Coopérative Agricole d’Arcis-sur-Aube (Landwirtschaftliche Genossenschaft Arcis-sur-Aube) neu gegründet, die heute unter dem Akronym SCARA firmiert.